Le nouveau catalogue de la Galerie Paul Prouté à paraître le 20 Avril : l’univers de l’artiste Gilles DEMARTEAU (Liège 1722 – Paris 1776) Jeune dessinateur Manière de sanguine et de crayon noir d’après François BOUCHER Charles VILLEMIN actif entre 1835 et 1849 Intérieur de l’imprimerie lithographique de Lemercier, rue de Seine 55, à Paris, Lithographie
Le nouveau site de la Galerie Place des Arts est en ligne : https://place-des-arts.com/fr/ Près de 18,000 œuvres /1949 artistes disponibles au bout d’un clic et des nouveautés mises en ligne quotidiennement
Dans le cadre des conditions sanitaires actuelles en France, le Conseil d’Etat a confirmé le 14 avril la fermeture des galeries d’art au public. Nous continuons cependant l’activité plus que jamais : site Internet et commerce en ligne, visite virtuelle des expositions, visite sur RdV aux professionnels, vitrines régulièrement modifiées, système de click and collect. N’hésitez pas à visiter le site Internet de chaque galerie pour connaître leur actualité et découvrir des œuvres !
Le nouveau catalogue de la galerie est en ligne : Catalogue XXXI N°173 Prosper Alphonse ISAAC (Paris 1858 † 1924) [Paysage sous la neige, moulin]. Gravure originale imprimée en couleurs. H110(150)xL115(145)mm. Belle épreuve sur papier Japon fort. Marges. 1 200 € N°216 Jean-François RAFFAËLLI (Paris 1850 † 1924) La place de la Révolte, grande planche. 1906. Gravure originale à l’eau-forte et pointe sèche, imprimée en couleurs au repérage. H450(600)xL565(715)mm. Réf. : Delteil, n°71. Très belle épreuve du quatrième état sur vélin crème, numérotée 10 d’un tirage à 200 exemplaires et signée au crayon noir par l’artiste. Bonnes marges. 1 000 €...
Exposition Alfred MANESSIER la couleur 12 mars – 30 avril 2021 La galerie Laurentin à Paris rendra un nouvel hommage à Alfred Manessier, important artiste de la Nouvelle école de paris : en présentant un ensemble d’œuvres aux couleurs éclatantes des années 1940 aux années 60. Cette nouvelle exposition montrera l’étendue de la palette d’Alfred Manessier, la richesse de ses couleurs et de ses compositions. «Vous savez, le tableau ne préexiste pas dans ma tête, il se fait sur la toile». Alfred Manessier
Joel-Peter Witkin et Patrick Bailly-Maître-Grand jusqu’au 28 mars Ces deux photographes, virtuoses des installations, se sont toujours emparés de thématiques valorisant l’étrange, le surréel pour mieux faire naître des « chimères ». Chez Joel-Peter Witkin se côtoient des êtres étranges, entre créatures réalistes et fantastiques. À travers un travail d’hybridation, il donne corps à des êtres qui relèvent de toutes les espèces sans appartenir à aucune. Quant à Patrick Bailly-Maitre-Grand, il métamorphose les objets du quotidien ou des objets chinés. Dans Recto Verso une figurine en plexiglas donne naissance à une sorte de martien à quatre bras, avec des os...
Grosvenor Prints a le plaisir de publier l’édition 106 de son catalogue. Contenant un peu plus de cent soixante-dix œuvres, il comporte des vues d’outre-mer, incluant des topographies de la Chine, ainsi que de la périphérie de Rangoon prises par le lieutenant Moore, des extérieurs du Royaume-Uni, y compris d’Oxford, des portraits satiriques, dont certains de Darly et quelques éléments de décoration. Les œuvres les plus marquantes sont : [The Soveraigne of the Seas builte in the Yeare 1637.] Thomas Jenner [rayures sur la plaque] [d’après John Payne]. Thomas Jenner feicet 1653 Gravure rare, filigrane du XVIIe siècle. Feuille 205 x...
La Galerie Baudoin Lebon présente Maya Mercer et Juliette-Andréa Elie du vendredi 22 janvier au samedi 20 février 2021, une exposition initialement prévue en novembre dernier. Deux regards et pratiques différentes de la photographie. Maya Mercer est une artiste franco-américaine qui vit et travaille en Californie du Nord. Inspirée par les conditions sociales du Far West américain rural, elle met en scène des adolescents dans des histoires visuelles et des tableaux de sa propre invention. Juliette-Andréa Elie est une photographe française. Elle travaille sur la représentation du paysage et l’antropocène. Elle crée des images diaphanes qui questionnent le médium de...
Le nouveau catalogue de la galerie est paru : Catalogue 105 La Douce Liberté. 45. Peinte par J. Collet. Gravure de S. Okey. Publiée conformément à la loi du Parlement du 31 mai 1770 et vendue par le graveur S. Okey [partie illisible, mais également, John Smith & John Swan]. Une mezzotinte extrêmement rare avec gravure mise en couleurs à la main. Feuille 465 x 520mm (18¼ x 20½ »). Découpée près de la plaque, déchirure affectant le titre, usure superficielle avec des parties de la zone d’inscription illisibles. Pas de marge inférieure mais pouvant être comparer avec une version de plus...
La galerie Christian Collin présente JEUDI 21 JANVIER à MIDI ses dernières acquisitions en estampes japonaises ukiyo-e et shin-hanga, dont plusieurs planches de l’exceptionnelle série des Vues célèbres des Cinquantre-Trois Stations du Tôkaidô d’Ando Hiroshige. Cet ensemble est à découvrir à la galerie et sur le site internet www.collin-estampes.fr Ando Hiroshige, Vue du lac et de la ville Ôtsu depuis le temple Mii, gravure sur bois en couleurs, 1855. Koho Shoda, Le pont Ohashi bridge à Atako, gravure sur bois en couleurs, c. 1910-1930.
Nouveautés à la Galerie Marinez D. autour des estampes japonaises : www.estampesmartinez.com Paul JACOULET Paris 1896 † Karuizawa (Japon) 1960 Fleurs d’hiver, Oshima (Japon). 1955. Gravure sur bois, imprimée en couleurs. Miles, n°240. Titre typographié en marge inférieure et timbre japonais en marge droite. Belle épreuve sur papier Japon filigrané (Lettres PJ), justifiée 36 d’un tirage à 350 exemplaires, portant un cachet rouge en forme d’arbre et signée au crayon gris par l’artiste. Marges. Bel état de conservation. 2 500 euros YOSHITOSHI Tsukioka Edo (Tokyo) 1839 † 1892 Guerrier regardant un champ de bataille pendant la pleine lune. 1888. Gravure...
Au théâtre des objets Exposition jusqu’au samedi 13 février 2021 Maïlys Seydoux Dumas La galerie Sagot – Le Garrec présente l’exposition Au théâtre des objets de Maïlys Seydoux Dumas avec un ensemble de peintures sur papier et d’estampes, lithographies et bois gravés. L’exposition est l’expression des interrogations existentielles de Maïlys Seydoux Dumas sur la survivance de l’âme suite au confinement dans un monde enfermé et dénué de toute créativité. L’artiste a imaginé un représentation théâtrale à travers ses peintures sur papier froissé accompagnés des poèmes de Haïm Kern, en distribuant les rôles à des objets. Le rideau se lève aux...
